Plus qu'assez
James Glover est un bel exemple de pourriture de l'industrie de l'affreux dans son rôle de complice de la description des comportements de l'animal dans le lit de notre descendance. Le courant sociologique selon lequel la réalité de ces attouchements peut être décrite et comprise à travers les pratiques ordinaires et banales de la vie quotidienne résume assez bien la manifestation de l'érection nocturne qui est une entreprise d'appropriation exclusive de notre vie pornographique. Le grotesque, le burlesque, le laid font partie de notre vie pornographique. James Glover l'affirme en tant que pornographe et consommateur de pornographie. Rien de ce que l'on voit en pornographie est esthétique. Tout est pornographique. Tout est un rappel désespéré de l'absurdité de nos vies. Nous sommes insignifiants, et non seulement ça, mais nous avons des envies contraires à nos aspirations. Ou des aspirations contraires à nos envies. C'est selon le point de vue qui change selon l'humeur.Entrevue avec Milena Blanche,
vedette de la série Plus qu'assez
Milena Blanche : Je vous en prie...
JG : Outre votre immense talent et votre photogénie indéniable, on sait que vous devez votre notoriété à vos extraordinaires mamelles. Comment vivez-vous avec ces énormes tétons ?
MB : Je ne vous cacherai pas que lorsque mes glandes se sont manifestées au début de l'adolescence, ça a été un traumatisme. La vie est vite devenue un enfer. Outre la séparation de mes parents, j'ai dû faire face à une adaptation inédite où les écueils étaient fort nombreux. Mais j'ai appris à vivre avec moi-même et à transformer ma particularité en un atout, grâce à la pornographie.
JG : Ne vous est-il jamais venu à l'esprit de vous faire opérer ?
MB : Bien sûr, mais l'idée d'une amputation n'est pas quelque chose que l'on envisage avec légèreté. Je ne rejète pas la possibilité d'une telle intervention une fois que je serai plus vieille, mais pour l'instant, j'ai beaucoup de plaisir à exploiter cette caractéristique unique qui plaît tant à mes admiratrices.
JG : Cela vous a ouvert des portes ?
MB : Bien sûr, dans le domaine de la pornographie tout d'abord, mais aussi comme sujet de conversations qui mènent souvent à une intimité avec bien des vedettes que je n'aurais pas connue autrement.
JG : Dans votre plus récente série, Plus qu'assez, il me semble que l'on n'exploite pas vos tétons à leur plein potentiel. Est-ce aussi votre avis?
MB : Dans Plus qu'assez, j'ai eu le bonheur de travailler avec Michel Delon dont le goût insoupçonné pour les excréments humains, et les miens en particulier, a, en quelque sorte, déterminé le chemin suivi lors de la réalisation. C'est la première fois que je rencontre quelqu'un qui a une passion pour la chose et cela nous a semblé tout à fait naturel de suivre nos instincts. Cela a donné une série forte dont je suis très fière.
JG : La scatophilie est-elle quelque chose qui fait désormais partie de vos préférences sexuelles?
MB : Je n'irais pas jusque là. Ce fut très plaisant de chier dans la bouche de Michel et de le voir savourer ma merde, mais je crois que cette pratique sera confinée à ma vie professionnelle.
JG : Donc il n'est pas hors de question de vous voir éventuellement manger des étrons dans une série à venir ? Car dans Plus qu'assez, il n'y a que M. Delon qui mange effectivement de la marde.
MB : En effet... on ne m'a pas demandé de le faire. Mais j'ai quand même manipulé des étrons et j'ai été souillée par la force des choses. Ceci étant, si mes admiratrices le demandent, je serais prête à le faire.
JG : Voilà qui est fort prometteur... Et en attendant que cela se produise, on peut toujours se rabattre sur la série en cours Plus qu'assez qui est déjà amplement satisfaisante.
MB : C'est gentil. Merci.
Entrevue exclusivement fictive avec Michel Delon
JamesGlover : Vous avez eu le plaisir de travailler avec la phénoménale Milena Blanche. Comment qualifierez-vous l'expérience ?Michel Delon : Phénoménale ! Mlle Blanche est une professionnelle qui prend plaisir à ce qu'elle fait. C'est une personne aimable avec qui il est facile d'accomplir le travail demandé.
JG : Mais encore ? On sait que l'on vous a demandé de faire des scènes de scatophilie où vous avez été appelez à vous soumettre ce que d'aucuns qualifieraient de dégradant... Comment vous a-t-on convaincu de vous plier à ces exigences pour le moins spéciales.
MD : Tout d'abord, la scatophilie n'est pas quelque chose qui me répugne. Je m'étais déjà prêté à ce genre d'exercice dans Visage au bord de l'anus et cela ne m'avait pas déplu. Au contraire. Puis Mlle Blanche a été d'une délicatesse qui a grandement facilité mon travail. Elle-même n'est pas une adepte de la pratique et il a fallu un certain temps avant qu'elle accepte de déféquer sur moi. Puis, devant mon plaisir évident, elle y a elle-même pris plaisir et a pu poursuivre avec enthousiasme.
JG : J'ai eu le privilège de voir la série Plus qu'assez et il me semble que la particularité de Milena Blanche n'a pas été particulièrement exploitée. Êtes-vous d'accord?
MD : Je ne suis pas sûr de comprendre votre question. Les seins exceptionnels de Mlle Blanche sont en vedette dans tous les tableaux et je crois que les admiratrices de Mlle Blanche seront pleinement satisfaites de la série.
JG : Bien sûr... Ce que je voulais dire, c'est qu'à aucun moment on ne vous voit éjaculer. On se serait attendu à ce que vous éjaculer entre ses seins...
MD : Je vois... Eh bien, l'éjaculation est quelque chose de sur-utilisée en pornographie et je crois que le réalisatrice de la série voulait se concentrer sur la scatophilie passive et que de me voir éjaculer aurait pu faire dérailler le propos de la série. Je vous fais pourtant remarquer que j'ai eu le bonheur de sodomiser Mlle Blanche et que cela a été un honneur et un bonheur inoubliables, et ce, même si je n'ai pas eu l'occasion d'inonder ses entrailles de mon foutre.
JG : Je comprends et je ne vous cacherai pas que je vous envie. Pourtant, cela a dû demander une certaine abnégation de sodomiser sans éjaculer?